1968-2000 :
la pâtisserie traditionnelle est la source d’inspiration
A
la fin des années ’60 la chasse aux calories commençait, ce qui n’était pas bon
pour les pâtisseries traditionnelles. A partir de ce moment on devait faire des
recettes plus légères. De nouvelles délicatesses, montés en cercle et passés au
grand froid, sont nés.
Dans les années ’70 le qualificatif "nouvelle pâtisserie" commençait avec ces gâteaux à base de biscuits joconde ou dacqois, à base de mousse aux fruits exotiques ou de crèmes bavaroises.
Dans les années ’70 le qualificatif "nouvelle pâtisserie" commençait avec ces gâteaux à base de biscuits joconde ou dacqois, à base de mousse aux fruits exotiques ou de crèmes bavaroises.
Puis
les professionnels étaient confrontés aux normes d’hygiène drastique. Alors les
matériaux et les pratiques devaient évoluer. La concurrence était forte sur un
marché porteur.
Des
kits de gâteaux prêts à garnir et de poudres diverses pour crèmes en toutes
formes sont nés. La pâtisserie française traditionnelle faisait
autorité au plan international. Grâce à elle, les spécialités d’autres pays
européens ont également été améliorées.
De
nouveaux savoir-faire permettaient de diversifier les décors et de
personnaliser les fabrications, comme mettre une photo sur les gâteaux.
Beaucoup de gâteaux disposaient de petits médaillons ou de frises latérales,
qui indiquaient leur origine.
Depuis
1990 on est témoin d’un retour aux classiques comme les tartes à la rhubarbe, les
madeleines du jour et les pains d’épices pur miel.
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